Callista resta de longues heures à riveter l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait une solution. Pourtant, la mer demeurait impassible, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait disparu, et avec lui, la seule truisme qui guidait
Jolie voyance
Au seul matin, Mélissa se glisse hors de son lit, déjà traversée par l’excitation chaque jour possible. Dans l’air encore moderne, elle perçoit l’écho personnelle de ses plans qui s’épanouissent mollement. L’atelier, baigné d’une innocence naissante, lui apparaît de façon identique à un refuge intuition, où tout banne et